La dictature du "proletariat" ?
Chers amis,
Je ne résiste pas, malgré ma promesse de parler plutôt philosophie pendant les vacances : le vote des chambres au congrès de Versailles du 21 juillet me fait de l'oeil et je réponds.
Voici venir le rêgne du parti unique l'UMP, un outil très affuté, déjà prèt depuis au moins deux ans à servir son chef, unique et incontournable Nicolas Sarkozy avec un Y à la fin même si un instant l'idée de mettre un I à la place du Y l'avait effleuré, mais ceci est une autre histoire (lisez si vous le pouvez encore, les articles de Thierry Meyssan, analyste politique et fondateur du "réseau Voltaire" censuré depuis longtemps par un ministre de l'intérieur qui n'aime pas que l'on parle de "son histoire" et de ce qu'il a fait pour être là aujourdh'hui et faire tout ce que bon lui semble.)
Pourtant hier deux choses très importantes se sont passées :
-la première c'est cette majorité ridicule du oui à la réforme de la Constitution avec l'aide des radicaux de gauche qui pour moi n'ont plus de gauche que le nom et Jack lang, un dépressif malade de ne plus exercer le pouvoir et qui a céder au chant de la sirène. Il y a Mr dupont-Aignan le souverainiste, qui dit devant plusieurs témoins que de telles réformes touchant à notre règlement intérieur devraient être faites par référendum !
En second, il y a eu l'intervention de Nicolas, s'invitant à Dublin pour dire aux Irlandais, un peuple souverain qui n se manipule pas :
J'ai compris que vous ayez dit "non" au traité de Lisbonne, je peux d'autant plus le comprendre que je viens d'un pays qui lui aussi a dit NON !!
Tiens, tiens, Mr Sarkozy, vous vous rappelez donc que le peuple français a été volé de son référendum sur le traité de Lisbonne ? Vous avez décidé, entre autre chose, et je vous invite à lire dans le détail (il y en a des croustillants) la nouvelle constitution de 1958, amenagée, que désormais un Président de la République française ne pourrrait plus exécuter plus de deux mandats consécutifs, ne vous en faites pas, et dites vous bien que si le peuple se réveille de la léthargie oû vos paroles l'ont plongé, ce mandat de cinq ans que vous exercez jusqu'à l'écoeurement sera peut-être plus court....
Bien à vous, ne dormez que d'un oeil, il parait que les canards le font.
Je ne résiste pas, malgré ma promesse de parler plutôt philosophie pendant les vacances : le vote des chambres au congrès de Versailles du 21 juillet me fait de l'oeil et je réponds.
Voici venir le rêgne du parti unique l'UMP, un outil très affuté, déjà prèt depuis au moins deux ans à servir son chef, unique et incontournable Nicolas Sarkozy avec un Y à la fin même si un instant l'idée de mettre un I à la place du Y l'avait effleuré, mais ceci est une autre histoire (lisez si vous le pouvez encore, les articles de Thierry Meyssan, analyste politique et fondateur du "réseau Voltaire" censuré depuis longtemps par un ministre de l'intérieur qui n'aime pas que l'on parle de "son histoire" et de ce qu'il a fait pour être là aujourdh'hui et faire tout ce que bon lui semble.)
Pourtant hier deux choses très importantes se sont passées :
-la première c'est cette majorité ridicule du oui à la réforme de la Constitution avec l'aide des radicaux de gauche qui pour moi n'ont plus de gauche que le nom et Jack lang, un dépressif malade de ne plus exercer le pouvoir et qui a céder au chant de la sirène. Il y a Mr dupont-Aignan le souverainiste, qui dit devant plusieurs témoins que de telles réformes touchant à notre règlement intérieur devraient être faites par référendum !
En second, il y a eu l'intervention de Nicolas, s'invitant à Dublin pour dire aux Irlandais, un peuple souverain qui n se manipule pas :
J'ai compris que vous ayez dit "non" au traité de Lisbonne, je peux d'autant plus le comprendre que je viens d'un pays qui lui aussi a dit NON !!
Tiens, tiens, Mr Sarkozy, vous vous rappelez donc que le peuple français a été volé de son référendum sur le traité de Lisbonne ? Vous avez décidé, entre autre chose, et je vous invite à lire dans le détail (il y en a des croustillants) la nouvelle constitution de 1958, amenagée, que désormais un Président de la République française ne pourrrait plus exécuter plus de deux mandats consécutifs, ne vous en faites pas, et dites vous bien que si le peuple se réveille de la léthargie oû vos paroles l'ont plongé, ce mandat de cinq ans que vous exercez jusqu'à l'écoeurement sera peut-être plus court....
Bien à vous, ne dormez que d'un oeil, il parait que les canards le font.