Cocue !!
Mes amis,
Oui je sais, le mot qui résume mon article n'est pas joli. Ni dans sa forme, ni dans sa sonorité, ni dans ce qu'il exprime. Pourtant elle est cocue depuis deux ans. Quel autre mot employer pour illustrer ce qu'elle subit, sans le savoir car tout est enveloppé dans un magnifique emballage, du papier-cadeau qui permet de masquer, d'occulter, de mettre de côté. Hypocritement sans doute, elle préfère aussi ne pas regarder, se regarder en face. Observer ce qui se passe derrière elle, chez elle, dans sa propre maison.
On lui ment, on la trompe, on la manipule. Oh bien sûr il y eut les promesses, les promesses du début, ces débuts toujours beaux mais qui ne durent jamais. L'état de grâce dit-on...
Et puis au fil des jours s'impose la réalité, se dévoile le vrai visage de l'élu, celui qui fut choisi, le vainqueur d'un jour que l'on croit pour toujours. Peu à peu, avec le masque qui glisse lentement sur le visage comme le rimel d'une femme qui pleure, c'est un autre qui vient, mais le même à la fois...
Elle aurait du se méfier mais il était si beau, si persuasif, si fragile parfois... Jusqu'au premier reniement, jusqu'au premier mensonge, jusqu'à cette première fois suivie de tant d'autres fois qu'il sut dissimuler... Il sait et saura encore... Quant à elle, elle avance dans un brouillard étrange, l'opacité du quotidien. Elle est heureuse, semble-t-il, mais semble-t-il seulement. En fait, elle rêve, idéalise, se détourne du malheur et s'accroche à un avenir souhaité. Celui qu'il a promis... Des promesses non tenues... Des trahisons cachées... D'autres qu'elle savent, tentent de la réveiller... Rien n'y fait... La belle est endormie, comme chloroformée... Même la vérité lui semble être un mensonge quand c'est le mensonge qui se fait vérité...
Jusqu'à quand?
Au fait, je parle de la France... Evidemment...
Oui je sais, le mot qui résume mon article n'est pas joli. Ni dans sa forme, ni dans sa sonorité, ni dans ce qu'il exprime. Pourtant elle est cocue depuis deux ans. Quel autre mot employer pour illustrer ce qu'elle subit, sans le savoir car tout est enveloppé dans un magnifique emballage, du papier-cadeau qui permet de masquer, d'occulter, de mettre de côté. Hypocritement sans doute, elle préfère aussi ne pas regarder, se regarder en face. Observer ce qui se passe derrière elle, chez elle, dans sa propre maison.
On lui ment, on la trompe, on la manipule. Oh bien sûr il y eut les promesses, les promesses du début, ces débuts toujours beaux mais qui ne durent jamais. L'état de grâce dit-on...
Et puis au fil des jours s'impose la réalité, se dévoile le vrai visage de l'élu, celui qui fut choisi, le vainqueur d'un jour que l'on croit pour toujours. Peu à peu, avec le masque qui glisse lentement sur le visage comme le rimel d'une femme qui pleure, c'est un autre qui vient, mais le même à la fois...
Elle aurait du se méfier mais il était si beau, si persuasif, si fragile parfois... Jusqu'au premier reniement, jusqu'au premier mensonge, jusqu'à cette première fois suivie de tant d'autres fois qu'il sut dissimuler... Il sait et saura encore... Quant à elle, elle avance dans un brouillard étrange, l'opacité du quotidien. Elle est heureuse, semble-t-il, mais semble-t-il seulement. En fait, elle rêve, idéalise, se détourne du malheur et s'accroche à un avenir souhaité. Celui qu'il a promis... Des promesses non tenues... Des trahisons cachées... D'autres qu'elle savent, tentent de la réveiller... Rien n'y fait... La belle est endormie, comme chloroformée... Même la vérité lui semble être un mensonge quand c'est le mensonge qui se fait vérité...
Jusqu'à quand?
Au fait, je parle de la France... Evidemment...